Une nuit entre un maître et son esclave sexuelle
La pièce était sombre et silencieuse, hormis la douce lueur des bougies qui projetaient des ombres sur les murs. Agenouillée, le cœur battant la chamade, la tête baissée, j'attendais son entrée. Ma peau frissonnait d'impatience ; tout mon être vibrait, hypervigilant, aspirant à sa présence.
Lorsqu'il entra enfin dans la pièce, je n'osai pas lever les yeux, mais je sentais son regard sur moi, puissant, impérieux. Puis je le vis : la cravache sombre et élégante qu'il tenait à la main.
Il fit glisser la cravache le long de ma mâchoire, relevant mon menton juste assez pour croiser mon regard. « Regarde-toi, si obéissante », murmura-t-il d'une voix basse, me faisant frissonner. « Dis-moi, ma petite salope, es-tu prête à recevoir ta marque ce soir ? »
« Oui, Maître », ai-je murmuré, la voix tremblante, tout mon corps tendu par le désir.
« Bien. Alors commençons. »
Il laissa la cravache glisser le long de mon cou, effleurant ma clavicule et y laissant une trace brûlante. Lentement, délibérément, il la fit descendre jusqu'à ma poitrine, traçant des cercles autour de mes tétons, chaque contact léger mais électrisant. Je ne pus retenir le petit gémissement qui s'échappa de mes lèvres, mes tétons se durcissant instantanément sous son emprise.
« Oh, ça te plaît, hein ? » Il rit doucement en me regardant me tortiller. « Je n'ai même pas encore commencé, et tu es déjà toute mouillée pour moi. »
Il abattit la cravache sur ma cuisse d'un claquement sec. La douleur fut vive et immédiate, me traversant de part en part et me faisant crier. Il eut un sourire narquois, visiblement satisfait de ma réaction. « Tu encaisseras chaque coup, n'est-ce pas ? »
« Oui, Maître », ai-je haleté, mon corps déjà vibrant, avide de plus.
« Sage fille. » Il me donna une autre petite tape sur l'autre cuisse, la douleur se mêlant au plaisir, intensifiant la sensation entre mes jambes. « Dis-moi à quel point tu désires ça », ordonna-t-il d'une voix rauque, presque possessive.
« S’il vous plaît, Maître », gémis-je, à bout de souffle. « S’il vous plaît… Je veux le sentir partout. Je veux que vous me marquiez, que vous me fassiez vôtre. »
« Partout ? » Il laissa échapper un rire sombre, faisant glisser la cravache sur mon ventre, la laissant reposer entre mes jambes, la pressant contre la chaleur qui émanait de moi. Je sentais déjà l'excitation monter, mon corps tout entier vibrant de désir. Il se pencha près de moi, son souffle chaud contre mon oreille. « Tu mouilles pour moi, n'est-ce pas, ma petite salope ? Tout ça pour cette cravache . »
« Oui, Maître », gémis-je, sentant le désespoir monter en moi. J'étais prête à tout pour lui, à le laisser m'emmener aussi loin qu'il le souhaitait.
Il pressa la cravache plus fort contre moi, me taquinant, me laissant sentir la pression mais me privant de la délivrance que je désirais tant. « Pas encore. Je veux t'entendre me supplier. »
« Maître, je vous en prie », ai-je murmuré, à peine capable de respirer. « Je vous en prie… utilisez-moi. Faites-moi le sentir. J’en ai besoin. »
Avec un sourire satisfait, il frappa fermement et avec précaution mon point sensible. Le mélange de plaisir et de douleur était intense, me faisant gémir. Il continua, chaque claquement de la cravache me rapprochant du précipice, chaque piqûre me rappelant son pouvoir sur moi. Ma peau brûlait, chaque nerf était en éveil, chaque fibre de mon être sensible à son contrôle, à son toucher.
« Tu es à moi ce soir », grogna-t-il. Il ramena la cravache contre ma poitrine et la fit claquer sur mes tétons. Chaque coup mêlait plaisir et douleur, me faisant haleter, me cambrer et me soumettre. « Et quand j’en aurai fini avec toi, tu te souviendras exactement à qui tu appartiens. »
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